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Actualités

Ce vendredi 20 octobre, le festival Haizebegi est plongé dans l’univers musical du romantisme. Bruno Moysan, agrégé de musique et docteur en musicologie, propose de (re)découvrir son ouvrage Liszt publié en 1999. Depuis sa thèse, soutenue en 1997, Liszt demeure au centre de ses recherches. Dans les 127 pages de son livre, l’auteur peint un portrait sensible du compositeur, revenant sur son parcours de vie. La musique en occupe le cœur, mais aussi la philosophie et l’engagement social. L’ouvrage tente d’élargir le regard du lecteur sur ce génie, trop souvent incompris selon l’auteur, pour saisir plus justement sa dimension de personnage historique. La conférence de Bruno Moysan sur la Sonate en Si mineur de Franz Liszt est illuminée par sa

Pour cette deuxième partie du festival Haiebegi, deux étudiantes de l’EHESS reprennent en main la rédaction et l’illustration du journal — encadrées par François Bensignor à la rédaction en chef et secondées par Rémy Salager à la mise en ligne —. Elles se présentent. Margot Artur de Lizarraga Margot Artur de Lizarraga Margot entame sa deuxième année de master à l’EHESS, parcours “Quantifier en sciences sociales”. Originaire de la France d’Outre-mer, à Saint-Pierre-et-Miquelon en Amérique du Nord, elle s’intéresse aux phénomènes migratoires et prépare son mémoire sur l’action du Bureau pour le développement des migrations dans les départements d’outre-mer (BUMIDOM). Margot s’intéresse également au journalisme, et travaille pour la radio La Première, l’antenne de France TV en 0utre-mer. Marie Le Diraison Marie Le Diraison Marie Le

“Un visionnaire avec de grandes ambitions”, un “opérateur culturel de génie”, d’un regard “aigu et profond” : Frédéric Deval est à l’honneur ce jeudi soir 19 octobre.  Disparu en 2016, il était un programmateur et producteur reconnu dans le secteur des musiques du monde, notamment pour son programme de musique transculturel à la fondation Royaymont. Il avait créé un espace au sein duquel les frontières s’effacent pour élaborer de nouveaux langages, et avait fait de la scène un lieu de rencontre où les identités multiples trouvaient leur place. Avec Frédéric Deval, l’expérience musicale était une pensée en profondeur articulant les sciences humaines et la musique. Voilà qui trouve écho ici, au festival Haizebegi, où ces deux domaines dialoguent chaque jour. Frédéric Deval -

Au festival Haizebegi, la rencontre est au cœur du programme, et la musique dialogue chaque jour avec les sciences humaines. Voilà qui fait écho au travail de Frédéric Deval, à l’honneur dans la soirée de ce jeudi 19 octobre. Paru ce jour, le livre posthume réunissant ses écrits sur la musique, Petites géométries de l’expérience musical, est présenté par celles et ceux qui l’ont accompagné toute sa vie. Le livre vient de paraître aux éditions Creaphis Lorsque les sciences humaines s’articulent à la musique En tant que producteur et programmateur, Frédéric Deval avait façonné un espace de rencontre pour des artistes et des langages venant d’horizons variés. Sur les expériences musicales qu’il créait, il portait une réflexion singulière. En témoignent ses écrits rassemblés

Fils de l’illustre percussionniste Djamchid Chemirani, Bijan Chemirani est lui-même devenu maître du zarb, percussion ancestrale iranienne. Dans le cadre du festival Haizebegi, il revient sur son parcours et le nouveau programme musical créé avec son frère Keyvan, Tales of New Ancient Rhythms. Bijan Chemirani — photo Margot Artur de Lizarraga — Votre musique met particulièrement en avant le zarb, pas seulement comme accompagnement mais également comme instrument soliste. D’où vous vient cette affection particulière pour cet instrument ? Bijan Chemirani : Si on part vraiment de l’instrument et de la musique, je dirais que c’est un instrument très simple — seulement une pièce de bois creusée sur laquelle on tend une peau de chèvre. Mais il a, je trouve, beaucoup d’expressivité, tout une

Petites géométries de l’expérience musicale, le livre posthume de Frédéric Deval, vient de paraître. L'ouvrage réunit 68 textes de Frédéric Deval, qu’il a écrit des années 1970 à 2016, date de sa disparition. Sa femme Ghislaine Glasson Deshaumes s’est plongée dans ces nombreux écrits et en a sélectionné sur toute la période de son parcours en musique. Cet ouvrage se présente comme une fenêtre sur la pensée de Frédéric Deval, et sur la manière dont elle s’est façonnée, notamment par son travail de programmateur et de producteur. Les textes sont rassemblés sous quatre thématiques : L’Art Jondo (en référence au chant profond du flamenco), Rythmes Voix et Souffle, Le Cercle et l’Expérience Musicale, Les Musiques Transculturelles. A lire d’une traite ou à

Julie Oleksiak, coordinatrice de la recherche à l’ethnopôle du Centre de musiques traditionnelles en Rhône-Alpes (CMTRA), connaît bien le festival Haizebegi. Elle a participé à sa création en 2013 aux côtés de Denis Laborde, le directeur de sa thèse en anthropologie de la musique menée au sein de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), présentée en 2020. Le terrain de sa recherche était le programme des musiques transculturelles de Frédéric Deval à la Fondation Royaumont. Elle y interroge l’activité des opérateurs culturels qui, en promouvant les rencontres culturelles à travers la musique, portent le message politique induit par une valorisation de la diversité culturelle. Au CMTRA, institution culturelle labellisée par le ministère de la culture, les travaux de recherche